jeudi 28 novembre 2019

Journalisme français, journalisme étranger

La Croix interroge Stefan de Vries, un journaliste néerlandais : comment le journalisme français est-il vu de l'étranger ? (Vidéo.)

J'interprète ainsi ses propos : le journaliste français est un lâche. Il crie fort, mais il est à la botte des puissants. C'est unique en Europe. Une explication de ce fait, que j'entends dans cette interview, est que son emploi est particulièrement précaire, et qu'il y tient.

Mais la véritable question n'est pas là. Le journaliste étranger semble être ferme dans sa déontologie. Qu'est-ce qui lui donne ce courage ?

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