Crash course se demande ce que les banques peuvent apprendre de ceux qui les ont précédées dans la folie : les opérateurs de télécommunication.
Conseils : identifier ce qui est vraiment solide dans vos affaires, et lui trouver des financements ; « révolution culturelle » pour régénérer un « capital intellectuel corrompu ».
Résultat ? Pas de nouvelles idées, encore moins d’occasions à saisir : les épaves de la crise ne font pas de bonnes acquisitions. Après la griserie du grand large, retour à l’ordinaire de la vie de l’entreprise : défendre ses petits monopoles, « un dur travail contre ses concurrents et des régulateurs revigorés ». « Médiocrité ».
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