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mardi 16 juin 2009

Iran suite

Un article qui paraît bien informé semble dire que le problème que pose l’élection iranienne n’est pas tant le trafic des chiffres que le fait que l’on ait pu croire qu’ils ne seraient pas trafiqués. Car l’Iran n’a absolument rien d’une démocratie.

Je m’interroge. Est-ce que le gouvernement iranien voulait faire de ses élections une campagne de communication, histoire de se montrer démocratique et de désarmer en partie l’animosité occidentale ?

Il n’avait pas prévu que son opinion publique, et ses « opposants » (pourtant des apparatchiks qui savaient à quoi s’en tenir), le prennent au mot ? En tout cas, il semble avoir dispersé les doutes le concernant et affermi la position de ceux qui ne l’aiment pas.

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