Chronique de France culture qui semble dire que les relations Obama / Europe sont fraiches. Il aurait beaucoup plus d’intérêt pour les « puissances de demain » que sont l’Inde et la Chine.
- Risque-t-il de négliger (ou de nuire à) un ami, pour s’attirer les bonnes grâces de pays qui lui sont fondamentalement hostiles ?
- Faut-il voir dans son comportement l’attitude instinctive d’une certaine classe américaine (notamment Roosevelt et l’élite politico-économique clintonienne) qui assimile l’Europe au mal, à un passé révolu, et les BRIC (la Russie en moins depuis l’arrivée de Poutine) à des pays jeunes, simples et rationnels, des pays qui ressemblent à l’Amérique, et avec qui l’on peut faire des affaires ?
Compléments :
- Obama n’aime pas Sarkozy, apparemment pour des raisons non rationnelles : Style d’Obama (3).
- Sur la pensée de l’Amérique vis-à-vis de l’Europe et du monde : Reluctant crusaders / Dueck, American visions of Europe.
- Sans rapport direct : suite du feuilleton de la réforme de la santé, discours de B.Obama au congrès. Pas bluffant, me semble-t-il, toujours trop mou et intellectuel, pas assez combattif. Liveblogging Obama's health speech, Obama's prescription for America. Mais, j'ai probablement tort. J'ajoute un article intéressant sur l'intérêt de la réforme pour le reste du monde.
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