État fortement interventionniste, qui a construit ses actuels champions industriels de manière fort déterminée (en particulier Embraer). Plus curieux, ce pays semble distribuer l’argent de l’état aux riches.
Par exemple, les pauvres paient de mauvaises études, les riches vont dans des universités gratuites. Les entreprises d’état, qui sûrement lui avaient coûté fort cher, ont été privatisées. Et puis :
Brazil has a stubbornly high murder rate and a violent police force. Many of its politicians see nothing wrong with stealing public money or appointing relatives to jobs within their private kingdoms, and refuse to resign when found out. It is a place of misery where 17% of homes do not have running water and too many families live in home-made shacks by motorway bridges. A place where many people convicted of serious crimes go unpunished, and those in prison live out a brutalised existence. And a place of environmental devastation that government is powerless to stop.
Le président da Silva semble avoir rendu ce monde un peu moins injuste. Mais est-ce le miracle dont on fait un tel cas aujourd’hui ?
Compléments :
- Premier article d’un dossier sur le Brésil : Getting it together at last et le dernier : Two Americas.
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