The Economist observe que l’Inde a tous les droits de contrôler les entrées de capitaux sur son territoire (mais qu’elle s’y prend particulièrement mal).
Il est regrettable, en bref, que l’argument libéral pour une libre circulation des capitaux ait flanché.
The Economist reconnaît donc que la libre circulation des capitaux, élément fondamental de la pensée libérale, n’est pas un principe absolu. L’excès de capitaux produit la spéculation et la crise.
Ailleurs, il avait aussi reconnu que la libre circulation des personnes n’était pas sans conséquences déplorables.
Louable honnêteté intellectuelle de certains théoriciens du libéralisme...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire