Curieux. Mettant un terme à son pessimisme, The Economist voit à l’Angleterre des lendemains qui chantent.
- Après avoir rappelé qu’il y a 3 ans « l’économie britannique était la plus forte d'Europe », il explique qu’elle n’est pas une seconde Grèce, mais qu’elle a de solides fondamentaux (dus à Margaret Thatcher), à savoir, des salaires modérés, des syndicats « petits et faibles » et un taux de change flottant. Bref le paradis sur terre.
- Quant à l’économie, elle n’est pas aussi dévastée que d’autres articles le prétendaient, l’industrie « qui compte encore pour la moitié des exportations », demeure la 6ème du monde, et « les services financiers, même à leur pic, constituaient seulement 8% de l’économie, contre 12% pour l’industrie ».
- Un seul point noir : le surpoids de l’État. Mais les conservateurs vont réduire sa taille (« les dépenses du gouvernement ont cru de 44% du PIB en 2006 à 52% en 2009, à comparer avec les 48% de la soi-disant étatiste Allemagne. »).
Compléments :
- The pain to come, Out of the ruins.
- Industrie anglaise remet l’industrie et les services financiers à leur juste place (avec les mêmes chiffres).
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