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dimanche 24 octobre 2010

Je ne peux pas vivre sans toi

Il est mieux de parler d’un film que l’on a vu. Contrairement à ce que je croyais, il n’y est pas question des méfaits d’une bureaucratie kafkaïenne. Il montre comment cette bureaucratie, en dépit des lourdeurs de ses procédures et de ses bonnes intentions maladroites, parvient à reconnaître le point de vue d’un marginal. Malgré leurs défauts, nos sociétés sont fondamentalement bienveillantes ?

Je me demandais si le héros était un exclu du système (aussi riche que la France), ou s'il appartient à une communauté minoritaire, qui ne partage pas le mode de vie dominant. Pas clair. C'est un Hakka, mais ça ne semble pas de manière évidente une minorité désorientée. 

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