Hier soir j’entendais une ancienne interview de Tony Curtis. J’ai été frappé par sa voix. Celle d’un parrain de la mafia, sorti de la rue. Ça ne collait pas avec l’image du séducteur élégant et inconséquent que ses films m’ont laissée.
Les ravages de l’âge ?
J’ai découvert qu’il était né Bernard Schwarz, avait eu une enfance particulièrement difficile, et qu’il devait sa carrière à l’ascenseur social de la guerre, qui l’avait expédié à l’université, et à un « chasseur de talents ».
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