Le changement présente un risque majeur. Le cancer.
Le changement peut être pris pour un signal, par chacun, qu’il doit attaquer l’intérêt collectif. La maladie n’est pas volontaire. Chacun se protège en se débarrassant de ce qui le gène chez les autres. Or, ceux-ci son moins bien équipés que l’expéditeur pour les traiter. Et ils représentent des organes vitaux de l’organisation. S’ils crèvent, la société les suit.
Le geste qui sauve ? Montrer (plutôt que dire) que la règle du jeu est l’entraide. Identifier les problèmes majeurs, et aider à construire le processus collectif qui permettra de les résoudre. Surtout, être vigilant.
En cas de restructuration ? Si sa survie le demande, le groupe peut aider certains de ses membres à jouer leur rôle d’individu responsable et solidaire, qui les amènera à retrouver un emploi ailleurs. Il aura ainsi évité le cancer.
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