La disparition du marché de Nokia, et l’effondrement de la dominance par l’Europe de la téléphonie mobile, viendrait de ce que ce qui fait les champions n’est plus la capacité à fabriquer, mais le logiciel. (Blazing platforms)
Pour sauver Nokia faudra-t-il l’amener dans la Silicon Valley ?
Illustration que le libre échange, et sa « destruction créatrice » ne fait pas l’innovation ? C’est (toujours ?) une question « d’écosystème » et de compétences construites par l’histoire ?
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