Les errements de M.Galliano et de quelques autres font s’interroger certains sur la gestion du talent.
On découvrir, que contrairement à ce que l’on pensait ces derniers temps, nul n’est irremplaçable. Et surtout « que la célébrité peut être une drogue aussi puissante que la cocaïne ».
En ces temps où l’on parle de plus en plus d’inégalité, commencerions-nous à vouloir raboter les ailes, et les bonus, de nos élites ?
Compléments :
- Le succès irait-il de pair avec une forme d’euphorie ? Inside job affirme que les top banquiers se vautrent dans la drogue (et la prostitution). Les hauteurs sociales seraient-elles mauvaises pour la santé mentale ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire