Film de Carl Theodor Dreyer, 1932.
Une sorte de chaînon manquant entre muet et parlant : peu de paroles et beaucoup de textes. Il n’y a pas vraiment d’intrigue ou de récit. Peut-être est-ce le film d’un rêve ? Peut-être cherchait-on plus, dans les années 30, l’image forte que l’histoire ?...
Découverte de Nicolas de Gunzburg, qui aurait vécu une curieuse vie, de dilettante, mécène et esthète.
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