Il se confirme que M.Berlusconi pourrait être remplacé par le chaos.
Le gouvernement anglais est faible, mais, curieusement, son opposition a placé à sa tête un leader qui lui garantit l’échec.
La situation française est proche. Que dire de la Belgique ?
Les démocraties sont elles malades ou leur solidité constitutive leur permet elle de vivre sans direction ? L’incompétence de leur tête est-elle la contrepartie de la liberté et de l’autonomie de leurs membres ?
Concernant la Belgique, au delà des apparences certes désastreuses, le pays continue d'être géré.
RépondreSupprimerA partir du 1er juillet, le secret bancaire sera supprimé (source Canard Enchaîné). Et la Belgique a appelé le Luxembourg et la Suisse à suivre son exemple.
Le Canard en conclut que cela prouve qu'une nation sans premier Ministre a une politique beaucoup plus courageuse... Propos assez ambigu et qui mène sur une pente potentiellement dangereuse, mais qui pour ce cas précis, semble exact.
Très intéressant.
RépondreSupprimerCela va dans la direction de ce que disent les spécialistes de la théorie des réseaux : plus le réseau doit traiter d'informations, moins il peut être hiérarchique. Est-ce la même chose pour les Etats ? L'Etat moderne, complexe, multiplie les liens transversaux ?
http://christophe-faurie.blogspot.com/2008/06/toyota-ou-lanti-risque.html