Nouvelles interminables. Les personnages font des
dissertations épuisantes sur des sujets qu’eux seuls trouvent profonds.
Histoire curieusement caricaturales, comme celle de cette duchesse espagnole,
tellement pourrie qu’un de ses yeux tombe au sol, et que l’autre fond.
Étaient-ce les mœurs, coincées ?, de l’époque, qui produisaient
le fantasme de femmes mystérieuses et diaboliques ? Le noble, qui n’était plus
soldat, se perdait-il, comme on le voit ici, dans une oisiveté sans fin, et dans le jeu, en
particulier ?
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