Le plus curieux est que ces différences correspondent à une
attitude inconsciente par rapport à l’existence en général, et non à une
opinion rationnellement élaborée concernant la politique, en particulier. (The Ideology of No)
Peut-être ce résultat s’applique-t-il aussi au changement :
des gens sont par nature contre et d’autres pour ?
Compléments :
- Cela ressemble aussi beaucoup aux travaux de Martin Seligman sur l’optimisme et le pessimisme. Une forme d’attitude câblée dans l’inconscient teinte l’interprétation de nos expériences. (SELIGMAN, Martin, Learned Optimism: How to Change Your Mind and Your Life, Free Press, 1998.)
- Et si on avait là un moyen de faire des sondages fiables? Il suffit de mesure l'attitude d'une personne à la vie pour savoir comment elle va voter ?
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