Le problème est que ce directoire, qui a gagné le nom de « Merkozy », a tenté de régler une crise financière comme s’il s’agissait d’une crise diplomatique, c’est-à-dire en négociant des compromis boiteux qui ont aggravé la défiance des marchés alors qu’il fallait des décisions tranchées.
Et :
comme le reconnaît le Président lui-même en petit comité : « nous avons fait le choix stratégique de nouer ce partenariat avec l’Allemagne qui sort la France du tropisme des pays du sud ».
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