Le Qatar et l’Arabie saoudite financeraient les partis sunnites, qui sont sortis vainqueurs du Printemps arabe. La Syrie vacillant, l’Iran commence à se trouver isolée, et aimerait se refaire en Iraq.
Or, de même que les élections présidentielles poussent les partis politiques locaux à l’irresponsabilité, l’affrontement entre le président et le premier ministre iraniens leur fait désirer, eux aussi, quelque grand acte d'éclat, extérieur.
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