Celui-ci augmente, non parce que la nature s’affole, mais en conséquence de l’évolution de la société : la logique de l’économie nous amène là où frappent les catnat, mais sans nous donner les moyens de nous défendre.
Recommandations aux gouvernements : prévoir des moyens de prévenir les conséquences des désastres ; ne pas laisser construire n’importe où ; ne pas subventionner les primes d’assurance, qui doivent refléter le coût réel du risque. L’entreprise (et l’individu ?) doit aussi faire entrer la Catnat dans son vocabulaire, et dans ses plans.
Compléments :
- La Mairie de Paris a-t-elle entendu ce message ? Elle a refusé la transformation d’un bureau de mon immeuble en appartement, au motif que la rue est inondable par la Seine et qu’il est en rez-de-chaussée.
- The rising cost of catastrophes, Counting the cost of calamities.
Je n'ai pas vérifié si le nombre de catnat augmente, c'était quand même les prévisions de l'UNEP en 1989.
RépondreSupprimerMais je te rejoins totalement c'est bien l'évolution de la société civile qui contribue largement à l'évolution des coûts.
Toutefois il faudrait mesurer cette augmentation avec celle des collectes que fond les assureurs sur chaque police vendue.