L’Allemand a un complexe de supériorité difficilement concevable. Curieusement, le Français fait tout pour l’encourager. Et ce n’est pas qu’une question de grèves.
Il suffit d’un coup d’œil aux placards que le métro a consacré à sa construction pour convaincre l’Allemand d’en sortir immédiatement. Sur l’un d’eux, un ingénieur (notre élite : un polytechnicien ?) explique que c’est grâce au système d de ses équipes qu’il a réussi à percer sa ligne.
Il n’y a rien de plus honteux pour un Français que de reconnaître qu’il doit son succès à un professionnalisme méticuleux.
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