Qu’en déduire ? Que le changement est
une question d’anxiété de survie et d’anxiété d’apprentissage.
- Ceux qui croient au réchauffement climatique n’ont pas réussi à convaincre la planète de se transformer. Elle a d’autres problèmes qu’elle juge beaucoup plus urgents.
- Les solutions qui ont été proposées n’ont pas été suffisamment travaillées pour être acceptables.
Cela ne suffit pas d’agiter des équations, il faut trouver
des mots qui ont du sens pour la population et des solutions qu’elle sait
mettre en œuvre.
Je pense que ce sujet souffre
RépondreSupprimer1° d'un manque de matérialité : c'est quoi le réchauffement climatique?
2° d'un manque d'image concrête, l'imaginaire peut y voir quelque chose d'agréable, du soleil, des températures tropicales...
3° d'un manque de visibilité : c'est pour la génération prochaine finalement je suis peux concerné à titre individuel. En revanche les problèmes de finances sont maintenant.
4° d'une absence de relais politique : qui parle de celà dans une campagne présidentielle?
5° de lobby puissants l'automobile, des pétroliers, de la grande consommation,
L'évolution du GRENELLE en est bien l'illustration : un grand élan qui s'évanouit aucun décret d'application n'est sorti...
Il n'y a donc pas d'anxiété forte, comparée à l'anxiété de mon pouvoir d'achat actuel et de mon job menacé.
Et, chez nous, le candidat écolo est inaudible.
RépondreSupprimerJe me demande si la com écolo ne joue pas trop sur la peur. Ce qui est efficace en période prospère, mais pas en période de crise, où la capacité à s'inquiéter de la population est saturée.
Les écolo devraient peut-être changer leur message, en montrant que leurs idées peuvent nous sortir de la crise...