The Economist visite une galerie marchande asiatique. Elle
mesure plus d’un kilomètre et est pleine de pacotilles en cochonnerie. C’est la
matérialisation des aspirations d’une nouvelle classe moyenne forte de
milliards d’individus. (Mall of the masses)
L’Occident a été comme cela après guerre. Et c’est peut-être
la meilleure démonstration des prévisions
du Club de Rome : le modèle d’existence qui a gagné le monde est celui
de la consommation ; mais, il n’est pas durable pour des raisons,
finalement très simples, d’épuisement de ressources.
Le raisonnement d’Adam Smith, qui veut que la richesse des
nations soit les biens matériels qu’elles produisent, est poussé à l’absurde ?
Et peut-être avec lui le modèle capitaliste ?
je rappelle l'un des péchés capitaux selon LORENZ, la consommation
RépondreSupprimerEt comment le bon Dr Lorenz compte-t-il nous sortir de là?
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