Il est de bon ton chez les intellectuels écolo de se désespérer
de l’espèce humaine, de sa tendance à s’autodétruire, et de souhaiter sa
disparition.
Eh bien, c’est une erreur. Le chimpanzé tue, lui aussi. Le
mécanisme serait relativement simple : le groupe ayant le plus d’individus
massacre celui qui en compte le moins…
La différence entre le comportement agressif des bonobos plutôt pacifiques et les chimpanzés, seraient selon ces chercheurs dans la production de testostérone des premiers qui ne se modifie pas à l'âge adulte contrairement à celle des chimpanzés.
RépondreSupprimerC'est ce que dit à nouveau LORENZ il y a une très forte influence de notre système hormonal et de sa régulation sur notre comportement.
Par ailleurs, cette agression mortelle semble avoir un objectif de régulation - certes humainement inacceptable - au sein du (des) groupe(s).
Il n' y a donc pas de destruction au niveau de l'espèce mais plutôt une volonté de préservation de son équilibre.
L'influence de ce comportement est assez strictement limité, au(x) groupe(s).
Oui. Mais n'en est-il pas de même pour l'homme? L'affrontement entre groupes humains peut être vu comme un moyen de régulation?
RépondreSupprimerEt l'absence d'affrontement, comme un degré supérieur de développement, qui vise à faire front tous ensemble, quitte à devoir résoudre quelques questions compliquées de surpopulation?
En dehors de l'écolo, qui veut la disparition de l'espèce humaine?