Ce je a plusieurs dimensions :
- D’abord un « engagement », comme l’explique un billet précédent.
- Mais il ne doit pas être le piège que montre Robert Cialdini (Influence : science and practice), qui consiste, pour être cohérent avec soi même à ne prendre que des décisions conformes à son choix initial. On devient alors manipulable. L’homme doit conserver un esprit critique. L’engagement doit évoluer.
- Enfin, cet engagement n’est pas asocial, comme on pourrait le craindre. Au contraire. Il définit la contribution unique de l’homme à la société.
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