- Elle est moins payée que l’homme, et doit compenser le manque à gagner.
- Elle est formée aux tâches ménagères. Ce qui n’est pas le cas de l’homme, pour qui elles sont un calvaire.
(C’est mon interprétation de : The ironing lady.)
Comment changer la situation ? Comme dans tous changements, c’est une question d’anxiétés : il faut à la fois augmenter l’anxiété de survie, en augmentant le salaire féminin, et diminuer l’anxiété d’apprentissage, en éduquant l’homme.
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