La logique de l’affaire me paraît être que JP Morgan pensait
que le reste du monde financier se trompait.
JP Morgan est la première banque américaine, et ne peut pas
faire faillite. Dans ces conditions peut-on lui laisser la possibilité de tels paris ?
Ce qu'il y a surtout de curieux dans cette affaire, c'est qu'un département d'une banque (même pas situé dans son siège) peut manipuler des montants de l'ordre de ceux de la dette grecque. D'un côté un petit nombre de froids calculateurs (une personne ?), qui gagnent des millions (15m$ pour le chef de l'unité) et risquent au mieux un licenciement, de l'autre toute une population, qui joue son existence.
Ce qu'il y a surtout de curieux dans cette affaire, c'est qu'un département d'une banque (même pas situé dans son siège) peut manipuler des montants de l'ordre de ceux de la dette grecque. D'un côté un petit nombre de froids calculateurs (une personne ?), qui gagnent des millions (15m$ pour le chef de l'unité) et risquent au mieux un licenciement, de l'autre toute une population, qui joue son existence.
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