Deux mécanismes ont joué. Tout d’abord une bulle spéculative
dans la « périphérie », les prix ont augmenté artificiellement.
Ensuite, le fait que le « mark » et le « franc » ont un taux
de change désormais fixe, a pour conséquence que les baisses de salaires
allemandes ne peuvent être compensées par une hausse du mark, comme jadis.
Ce qu’en dit Paul Krugman : German Adjustment - NYTimes.com, et
un complément : Germany
and the Benefits of the Euro.
Étrangement, c’est un phénomène que j’avais noté :
l’Allemagne profite d’une monnaie dévaluée par rapport à la puissance de son
économie. C'est pour cela qu'elle n'a aucun intérêt à redresser la situation.
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