Le capitalisme procède toujours de la même façon. La
croissance démographique crée une forme de disette. Les plus avantagés en
tirent parti pour accumuler capitaux et innovations. C’est le progrès. Mais la
misère conduit à la crise.
Elle force à installer des systèmes de solidarité sociale. En
créant une classe moyenne, ils relancent la croissance.
Au 19ème siècle ce mécanisme conduit à une première
globalisation, à plusieurs bains de sang mondiaux et à une crise sans précédent.
Aujourd’hui, le surplus de main d’œuvre amené par l’émergence de l’Asie a produit une seconde globalisation, et une explosion des inégalités (au sein des nations). Puis une crise. De nouveau, il faut recréer un minimum de solidarité, avant que l'affaire ne tourne vraiment mal.
Aujourd’hui, le surplus de main d’œuvre amené par l’émergence de l’Asie a produit une seconde globalisation, et une explosion des inégalités (au sein des nations). Puis une
Mais, cette fois-ci, les capacités de la planète sont à
leurs limites. Nous ne risquons pas une simple guerre mondiale, mais l’extinction de notre espèce
Solution ? Faire le contraire de ce que l’on a fait. Dans notre comptabilité, l’homme est cher et la nature bon marché, sa consommation étant même subventionnée. Il faut inverser les taxes pour donner envie d’employer l’homme et de protéger
Je note que tout ceci nous maintient dans le même système, un peu vicieux.
Ne serait-il pas prudent d’en démonter le moteur ? La croissance
démographique ? Malthus aurait-il vu juste ?
A moins qu’une répartition équitable des ressources nous enlève l’envie d’une excessive natalité ? Mais quid de l’Afrique,
qui n’est pas passée par le même cycle que l’Occident et l’Orient ?
La plupart des maux actuels ont pour origine l'explosion démographique en cours depuis 2 siècles : nous étions 1 milliard en 1800, nous sommes 7 milliards aujourd'hui et nous serons sans doute 10 milliards en 2100...
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