Gérard Depardieu semble illustrer une des grandes idées de ces dernières années.
Il ne doit rien à la France. L’argent qu’il a gagné est à lui. L’impôt, c’est le vol. C’est le principe du néoconservatisme américain.
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Les valseuses, en anglais. |
Question difficile à trancher : qu’est-ce qui est à lui, qu’est-ce qui est au pays ? Aurait-il réussi à l’étranger ? Avons-nous fait le succès d’un Depardieu milliardaire, ou d’un Depardieu libertaire ?
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