6 février 2014, Amphi J du Pole Universitaire Léonard de Vinci, je participe à un débat. C'est gratuit. En voici l'annonce :
2003. Christophe
Faurie publie un livre sur le changement. S’ils sont basés sur son expérience,
ses travaux s’inscrivent surtout dans la recherche scientifique. Ils sont
d’ailleurs encouragés par des universitaires comme Edgar Schein, aux USA, ou
Henri Bouquin et Jean-Pierre Schmitt, en France. Bon départ ? Quelque chose de
bizarre se passe. Mur d’incompréhension. Des journalistes aux politiques,
changement n’est pas français ! Que cela puisse être une question de techniques
n’est même pas concevable.
Aujourd’hui, il
sort son quatrième livre, Le changement ça s’apprend. A cette occasion, il s’entretiendra avec Dominique
Turcq, fondateur du Cabinet
Boostzone.
Et si, pour
paraphraser Churchill, le « changement nous avait pris à la gorge », parce que
nous avons refusé « de le prendre par la main » ? Et si nous devions « changer
pour ne pas changer » ? Et si c’était du travail, mais pas un miracle ? Et si le
changement, ça s’apprenait ? … Mais notre pays peut-il entendre ce message ?...
Voici quelques questions que se poseront Dominique Turcq et Christophe Faurie.
Dominique Turcq
est le fondateur de l'Institut Boostzone, centre de recherche sur l'évolution du
management face à la complexité des évolutions économiques, technologiques et
sociologiques. Il a récemment publié "Le Management Augmenté" qui traite des
défis que le management doit relever pour s'adapter au monde contemporain. Il
tire son expérience de plusieurs années passées dans le monde académique
(INSEAD, HEC, ESCP), le monde du conseil (McKinsey) et le monde de l'entreprise
(ex directeur général monde, Stratégie du Groupe Manpower
Inc.).
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