The Economist s’intéresse aux élections européennes. Les extrêmes arrivent. Pour sa part, il
voudrait se débarrasser du parlement européen.
Ukraine. Donetsk
serait un cas particulier (car peuplé de Russes), l’Ukraine devrait rester en un
morceau. C'est dans l'intérêt de la Russie. Mais, quel degré de chaos ? La France va vendre des Mistral à la Russie, trop d’emplois en jeu. Les
pays européens de l’Est sont divisés quant à la politique à tenir vis-à-vis de
la Russie. Occasion d’un intéressant tableau
de l’Europe de l’est.
L’Europe de l’est a été un succès remarquable, combinant le capital de l’Ouest avec une main d’œuvre bon marché pour devenir une partie intégrante de la machine à exporter allemande.
La Bulgarie, souvent vue comme le cheval de Troie russe en Europe, est presque entièrement dépendante du gaz russe.
(La position de la Hongrie et de la République Tchèque) pourrait être influencée par un mélange pernicieux d’institutions faibles, de corruption, d’argent russe douteux et de propagande agressive du Kremlin.
Accident minier en Turquie.
Son premier ministre n’est toujours pas ébranlé. Perfide Albion. Les pauvres et les malfrats s’éloignent des centres
ville pour gagner les périphéries. C’est le résultat d’une meilleure police, d’investissements
et de l’immigration de Musulmans, qui ne boivent pas. Quant aux Bulgares et aux
Roumains ils se sont installés dans des boulots précaires (auto entrepreneurs).
Ils pourraient maintenant avoir accès à de meilleurs emplois. L’Angleterre
pense aussi faire des apatrides de ses mauvais citoyens. Un fâcheux précédent,
pense The Economist.
Nucléaire iranien. Négociations. Iraniens très flexibles. Américains pas trop. En Afrique du sud, « presque 44% des foyers dépendent de la sécurité sociale pour joindre les deux bouts ». La dite sécurité sociale ayant été créée par l’ANC, il bénéficie du vote populaire, en dépit de sa corruption.
Nucléaire iranien. Négociations. Iraniens très flexibles. Américains pas trop. En Afrique du sud, « presque 44% des foyers dépendent de la sécurité sociale pour joindre les deux bouts ». La dite sécurité sociale ayant été créée par l’ANC, il bénéficie du vote populaire, en dépit de sa corruption.
La Chine fait peur au
reste de l’Asie. Mais il est incapable de s’unir. Chaque pays ayant sa
paralysie propre, elle empêche le tout d’adopter une ligne commune. Le Japon
sortirait timidement de son pacifisme ? Quant au prochain premier ministre
indien, il a été servi par une très dangereuse extrême droite nationaliste. Mais il n'est plus dans son intérêt de continuer à la fréquenter.
USA toujours
aussi surprenants. A la Nouvelle Orléans, une justice corrompue condamne à mort
des innocents. Ailleurs, le politicien explique que Dieu a donné le charbon aux
Américains. Accessoirement, on envisage d’utiliser des drones pour détruire les
missiles ennemis au moment de leur décollage. Coupe du monde au Brésil. Rien ne sera prêt à temps. Va falloir
improviser.
L’Europe demande à Google qu’une partie de notre passé
puisse ne pas être révélé par son moteur de recherche. Ce qui pourrait « amener l’Internet un peu plus vers la
fragmentation ». Quant à McKinsey, il veut passer de la stratégie à l’exécution.
Particulièrement celle des fusions. En Asie, explosion du transport aérien bas
coût. Il arrive à ses limites. Fusion et acquisition.
Entre égaux, ça ne marche presque jamais. Il faut un seul chef, et un plan
détaillé. Capital risque en Europe. Faute
d’investisseurs privés, c’est la puissance publique qui investit. Ce qui fait fuir
le privé. Et est bien peu rentable (2,1% par an, depuis 1990).
A qui obéit notre démocratie ? D’après une étude : « ceux qui ont le plus d’influence sont l’élite économique (définie comme les 10% qui gagnent le plus) et les groupes d’intérêt représentant les entreprises. Par contraste les groupes d’intérêt « de masse » tels que les syndicats ont peu ou pas d’impact ». Attention à une révolte des pauvres. Une autre étude estime que la crise n’a pas été créée par les banques, mais par l’immobilier. Il aurait fallu sauver les pauvres plutôt que les riches. En particulier en partageant les risques entre créditeur et débiteur. Idem en Europe. Le coupable n’était pas Grec, mais Allemand, et banquier irresponsable (français et allemand).
A qui obéit notre démocratie ? D’après une étude : « ceux qui ont le plus d’influence sont l’élite économique (définie comme les 10% qui gagnent le plus) et les groupes d’intérêt représentant les entreprises. Par contraste les groupes d’intérêt « de masse » tels que les syndicats ont peu ou pas d’impact ». Attention à une révolte des pauvres. Une autre étude estime que la crise n’a pas été créée par les banques, mais par l’immobilier. Il aurait fallu sauver les pauvres plutôt que les riches. En particulier en partageant les risques entre créditeur et débiteur. Idem en Europe. Le coupable n’était pas Grec, mais Allemand, et banquier irresponsable (français et allemand).
Parler une autre langue que la sienne forcerait à penser
lentement, donc à être rationnel. Grâce aux LED, l’agriculture d’intérieur
pourrait devenir rentable. Etre enceinte est un facteurs de risque pour la
conductrice. Mais moins que d’être passagère de son mari.
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