Je ne suis pas si sûr que ce soit sa faute. Ce qui s'est joué à son époque a été la lutte de l'absolutisme contre la démocratie. Une France révolutionnaire était un scandale qu'on ne pouvait permettre de subsister. (C'est d'ailleurs peut-être pour cela qu'elle est toujours aussi faible et haïe. Elle est encore porteuse de valeurs abhorrées.) La seule transition acceptable était, me semble-t-il, une sorte de monarchie à l'anglaise. Louis XVI l'a refusée. Et Napoléon s'étant pris pour Alexandre, il ne pouvait terminer que comme lui. Et la France aussi.
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