Il est curieux que l’on ne s’intéresse pas aux conséquences de
l’économie du partage.
Qu'est-ce ? C’est partager ce que l’on a. Par
exemple son logement. La particularité de cette économie, c’est la plate-forme Internet. C'est un marché électronique qui permet de faire l’échange. Celui
qui la possède s’enrichit colossalement. Car, la plate-forme coûte peu et la caractéristique d’Internet
tend à être le monopole.
Conséquences ? Cela fait des échanges économiques
nouveaux : croissance. Mais c’est aussi une meilleure utilisation des
actifs. Exemple : le cloud computing. Ce n'est pas qu'une simple délocalisation des ordinateurs, cela pourrait provoquer celle des DSI elles-mêmes. Et ce pour des raisons de compétence, de capacité d'adaptation à une technologie en évolution permanente, et non de coûts. Avis de changement violent ?
Prenons un autre exemple. Imaginons que l’on partage nos voitures. Cela pourrait faire tomber la production automobile. Or, comme l’industrie fonctionne aux limites de l’équilibre, une petite baisse peut la mettre en grosse difficulté. Donc créer une grosse crise. Et faire plonger l'économie dans un cercle vicieux, car tout est lié. Tous chômeurs. Et l'industrie automobile, se contracte et perd ses compétences. Demain, il n'y aura plus rien à partager ?
Prenons un autre exemple. Imaginons que l’on partage nos voitures. Cela pourrait faire tomber la production automobile. Or, comme l’industrie fonctionne aux limites de l’équilibre, une petite baisse peut la mettre en grosse difficulté. Donc créer une grosse crise. Et faire plonger l'économie dans un cercle vicieux, car tout est lié. Tous chômeurs. Et l'industrie automobile, se contracte et perd ses compétences. Demain, il n'y aura plus rien à partager ?
L’économie du partage pose un double problème.
- Celui du changement incontrôlé.
- Celui de l'objectif du changement. Partager, plutôt que créer, c'est la misère. C'est minable.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire