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dimanche 20 novembre 2016

Les paradoxes de l'ISF

Il est possible d'éviter de payer une partie de l'ISF en investissant dans une jeune entreprise. J'ai découvert ce qui semble être un curieux effet pervers de cette mesure. 

L'investisseur gagne ainsi de l'argent relativement facilement. Du coup, il es passif. Or, il se trouve que l'entreprise a souvent un potentiel de développement très intéressant. Dans certains cas l'investisseur pourrait tripler sa mise. Et, cela rendrait un grand service au dirigeant que son investisseur lui demande des comptes !

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