Après "fake news", il y a "fact checking". Le populisme se nourrit de nouvelles fausses, on va lui couper l'herbe sous le pied.
Problème : Il paraîtrait qu'aux USA 89% des Républicains estiment que les journaux ne sont pas honnêtes (France Culture, lundi matin). Quelle efficacité pour le fact checking si l'on ne croit pas les "fact checkers" ?
Et pourquoi ? Peut-être parce que l'électeur du populiste a fait son propre "fact checking". Il constate qu'il y a eu un écart entre ce qu'on lui a dit et ce qui lui est arrivé.
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