J'entendais la radio comparer le coup de chaud qui se préparer à celui de 2003.
Est-ce honnête ? J'ai vécu la canicule de 2003, à Paris, et il me semble qu'elle avait des caractéristiques bien différentes de ce qui se prépare. D'abord, elle a duré plusieurs semaines. Ensuite, ce qui fait les dégâts du coup de chaud, ce n'est pas la température diurne, mais la température nocturne. En 2003, la nuit n'était pas plus fraiche que le jour.
Et si nos journalistes s'interrogeaient sur l'éthique de leur métier ?