Depuis que j'ai rencontré les passions tristes, je me demande comment les rendre joyeuses.
Une première tentative. Appreciative Inquiry, une approche du changement, un peu oubliée, qui "insiste sur ce qui est bien dans une organisation, pourquoi ça marche bien, et comment ce succès peut être étendu à toute l'organisation". (A primer on organizational behavior, Bowditch, Buono, Stewart.)
Effectivement, aujourd'hui nos idées noires viennent de ce que l'on nous dit que ce que nous faisons est mal, sans nous dire comment bien faire. On a l'impression d'un retour au pêché originel. D'ailleurs, nous ne voyons que les défauts des uns et des autres. Et si nous voyions leurs qualités, ou nos compétences collectives ? Peut-être qu'en prenant la vie de cette façon, on pourrait balayer, indirectement, emportés par notre élan, les problèmes qui nous semblent insolubles ?