Ce matin, j'entendais des Libanais découragés. (France Culture.) Ils ont passé leur vie à reconstruire leur pays, or, maintenant, il est à nouveau détruit. Il n'y a même plus d'Etat.
Mes amis libanais m'avaient dit cela. Mais j'avais censuré la nouvelle. Je n'écoute que ce pour quoi j'entrevois des solutions. Le reste me déprime. Là, il n'y a que le miracle d'envisageable.
Le Liban paraît le symbole du mal mondial. Un déchaînement d'égoïsme aveugle. Le Liban a été dépecé par ceux à qui il s'était confié, et est victime de toutes les luttes d'intérêts internationales. Trump n'aurait rien arrangé...
Mais le problème n'est pas là. Pour lui et pour nous. Il faut que des forces de reconstruction émergent, alors que les calamités ne font que commencer. Lorsque l'on est à terre, tout devient menaçant.
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