Les vaccins à "ARN messager" inquiètent. Injecter de l'ARN dans le corps, c'est injecter un virus. Or, certains virus peuvent se combiner à notre ADN, avec les conséquences que cela signifie. Et il peut y avoir pire : on ne sait pas ce qui peut se passer ! (Bien sûr, les mutations n'ont pas que des désavantages, les vaccinés pourraient produire des sur hommes !)
Pourquoi avoir pris un tel risque, alors que la maladie est relativement bénigne ? Répondre à cette question pourrait faire avancer notre réflexion sur ce que doit être une démocratie :
Tout d'abord, il semble que lorsque les enjeux sont aussi importants, à aussi long terme, il faut une consultation de la population. Il n'est pas possible qu'une telle décision soit prise par une poignée d'individus.
Ensuite, ce type de décision est le symptôme des vices de notre système de gouvernement, plutôt que de ceux qui le constituent. Un coup, il immobilise le pays avec le principe de précaution, un autre il le remet en marche en lui injectant un vaccin. Dans les deux cas, il veut notre bien. D'abord protéger nos vies. Ensuite relancer l'économie. Mais pas, parce qu'il est capitaliste, mais parce qu'il veut nous éviter la crise de 29, qui a eu pour conséquences bien plus que quelques dizaines de milliers de morts. Notre exécutif tout puissant ne peut pas faire dans la dentelle.
Or, une "action de terrain" pourrait permettre de réorienter les entreprises vers de nouveaux marchés, les employés vers de nouvelles qualifications (flexisécurité), et non seulement d'éviter le chômage, mais peut-être bien de le réduire.
La résilience demande un déport de la capacité de décision vers les noeuds du réseau social.
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