Les observations de Michael Porter lui font dire que, seule, l’entreprise tend au statu quo ! Elle n’innove ni ne se développe.
Pour croitre, elle a besoin d’un stimulant extérieur, qui lui est fourni par sa « home base », son territoire d’origine. Pour Michael Porter, ce stimulant, cet « avantage concurrentiel des nations », c’est le business cluster. Ce sont des conditions très spécifiques, qui vont donner au tissu « socio économique » local la faculté, en quelque sorte, de tirer parti avec une très grande rapidité et efficacité, des courants porteurs.
Or, il y a un quasi consensus concernant le fait que la culture française stoppe très tôt la croissance de l’entreprise. Une étude est allée jusqu’à parler du « syndrome de Peter Pan » : l’entrepreneur français veut rester petit.
Et si l'on avait là une idée pour le développement économique du pays ? (à suivre)
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