L'Europe, en partie le monde, semble illustrer ma théorie sur les écosystèmes. Cette théorie dit qu'un écosystème digne de ce nom est résilient par nature, et qu'il doit cette résilience à sa capacité à remplacer un de ses membres. Il y parvient parce que, ensemble, les autres membres de l'écosystème ont les moyens de se répartir les fonctions que le membre remplacé a.
Aujourd'hui, une partie de l'humanité cherche à se réorganiser pour se passer de la Russie.
(Ce qui me rappelle ce que j'ai lu sur les Vikings : chez eux la peine capitale n'était pas la mort, mais l'ostracisme.)
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