Un jeune homme disait : regardez comme j'ai changé. Hier, je parcourrais le monde en colon et en avion, aujourd'hui, je suis une pasionaria de la bicyclette. (Linkedin)
Ailleurs on dévisse les statues des anciens, parce qu'ils ont mal pensé, ou mal agi. Faut-il renier son passé, au nom du présent ?
Ou reconnaître qu'il n'y a ni bien, ni mal absolus, mais un monde en évolution ? Un monde qui se construit en avançant, et donc qui peut s'égarer si l'on ne s'interroge pas sérieusement à chaque pas qu'il fait ?
Le début de la responsabilité ?
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