Un ami me dit qu’il n’y a pas de crise : impossible de trouver une chambre d’hôtel pour des vacances de neige.
Autre interprétation. En 95, il y a eu une très longue grève des services publics (raison ?). Embouteillages effroyables. Pendant plus d’un mois j’ai dû faire plus de deux heures de marche à pied pour aller travailler. La grève finie, tout le monde a sauté en voiture pour partir en vacances et oublier ce cauchemar.
Je soupçonne qu’il en est de même pour la crise. Les journalistes nous soumettent à un déluge de mauvaises nouvelles. Nous sommes désarmés. Nous ne pouvons qu’attendre passivement que le hasard décide de notre sort. Les vacances ? Une accalmie.
Les médias vecteurs de dépression : 406.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire