Depuis quelques temps je lis que la fin de S.Berlusconi est imminente.
Mais une instabilité italienne ne signifierait-elle pas une nouvelle crise de l’euro ?
Illustration des techniques de négociation ? Le bon négociateur se place dans une situation dans laquelle nous n’avons qu’une seule possibilité d’action, qui est à son avantage. Sinon c’est l’apocalypse.
D'accord sur chacun des paragraphes mais pas sur leur enchainement. Car il ne me semble pas pertinent de parler d'instabilité en cas de départ de ce triste sire de Berlusconi ! Ou bien auquel cas il y aurait beaucoup de nations qu'on puisse considérer comme instables...
RépondreSupprimerAu contraire : on peut imaginer que le départ de son Président qui se préoccupe davantage de ses affaires de fesse que de gérer son pays ferait sans doute grand bien à l'Italie.
En fait, la question que je me pose n'est pas liée à l'Italie mais à l'attitude des si redoutables "marchés" dont la rationalité est si étrange.
RépondreSupprimerComment interpréteraient-ils un renversement de Berlusconi? Surtout si aucun remplaçant ne fait l'unanimité ? Quels en seraient les impacts pour l'Europe?
Il y avait un article exactement sur ce sujet sur le site lesechos.fr ce jour, que je ne parviens pas à retrouver.
RépondreSupprimerSinon celui-ci n'est pas mal non plus, non pas sur la réaction des marchés cette fois ci-i mais sur les conséquences macro-éco. : http://lecercle.lesechos.fr/les-economistes/autres-auteurs/221132389/les-consequences-economiques-de-silvio-berlusconi