Depuis quelques temps je lis que la fin de S.Berlusconi est imminente.
Mais une instabilité italienne ne signifierait-elle pas une nouvelle crise de l’euro ?
Illustration des techniques de négociation ? Le bon négociateur se place dans une situation dans laquelle nous n’avons qu’une seule possibilité d’action, qui est à son avantage. Sinon c’est l’apocalypse.
3 commentaires:
D'accord sur chacun des paragraphes mais pas sur leur enchainement. Car il ne me semble pas pertinent de parler d'instabilité en cas de départ de ce triste sire de Berlusconi ! Ou bien auquel cas il y aurait beaucoup de nations qu'on puisse considérer comme instables...
Au contraire : on peut imaginer que le départ de son Président qui se préoccupe davantage de ses affaires de fesse que de gérer son pays ferait sans doute grand bien à l'Italie.
En fait, la question que je me pose n'est pas liée à l'Italie mais à l'attitude des si redoutables "marchés" dont la rationalité est si étrange.
Comment interpréteraient-ils un renversement de Berlusconi? Surtout si aucun remplaçant ne fait l'unanimité ? Quels en seraient les impacts pour l'Europe?
Il y avait un article exactement sur ce sujet sur le site lesechos.fr ce jour, que je ne parviens pas à retrouver.
Sinon celui-ci n'est pas mal non plus, non pas sur la réaction des marchés cette fois ci-i mais sur les conséquences macro-éco. : http://lecercle.lesechos.fr/les-economistes/autres-auteurs/221132389/les-consequences-economiques-de-silvio-berlusconi
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