Il y a quelque chose de surréaliste dans les réformes du gouvernement anglais. On baigne dans un idéalisme d’un autre monde. Mais je semble le seul de mon point de vue (avec Michel Rocard). La population anglaise ne fait que résister au coup par coup, sans remettre en cause la philosophie générale des menées de ses dirigeants. Comment tout ceci va-t-il finir ?
Dernier épisode : réforme du découpage électoral. Application d’une idée que j’avais lue chez John Stuart Mill (mais qui remonterait à Burke) : attacher un élu à un nombre fixe de représentés.
Problème. Cette vision purement individualiste nie la dimension culturelle (donc géographique) du besoin de représentation démocratique. C’est ainsi que le nouveau découpage électoral donnait, 1,5 élu à l’île de Wight (l’autre moitié représentant des habitants de l’île principale). (All Wight now.)
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