Ils auraient fait de l’Angleterre un paradis des affaires qui aspire
le talent et les capitaux étrangers : banquiers allemands, puis
américains, oligarques russes, multinationales indiennes, dictateurs divers… Ces nouveaux arrivants ont signé un marché avec la haute société
anglaise : la puissance d’une nation au
service de leurs intérêts, en échange d’emplois extrêmement rémunérateurs. S’ils
réussissent, ils sont anoblis.
Peut-être que The Economist voit
juste lorsqu’il dit que la mission de La City est « de traire la globalisation ». Et si
les locataires de l’île pillaient les ressources du monde et reversaient une
quote-part du larcin aux propriétaires du lieu ?
Compléments :
- Histoire de l'Angleterre depuis le Moyen-âge.
- Heureux comme un dictateur en Angleterre. Un autre billet tiré des observations de The Economist.
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