Ce système semble se prêter à de réjouissants cercles
vicieux. Il a encouragé le développement de l’offre culturelle, bien. Mais plus
elle croît plus se développe le chômage, et plus se fragmente le travail. En
effet, l’employeur a intérêt à utiliser beaucoup de gens peu de temps. Les
dindons de la farce sont les contribuables, qui paient les intermittents au
chômage, et les intermittents, qui ne cotisent pas pour leur retraite,
lorsqu’ils sont au chômage…
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