Et voilà que l’on commence à soupçonner Mme Merkel de suivre
un peu trop son intérêt électoral à court terme. Ce que dit The Economist du
rapprochement EADS / BAE qu’elle a empêché : « Les explications
possibles incluent sa prudence personnelle, la répugnance des électeurs
allemands pour l’industrie de l’armement, et surtout la suspicion que l’âme de
la nouvelle entreprise serait plus anglo-française qu’allemande. Tout ceci
devrait inquiéter les Européens. Si une fusion globalement logique peut échouer
du fait de raisons insignifiantes, quel espoir pour une union bancaire ? »
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