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mardi 16 septembre 2014

Entreprise : de l'essorage à la relance ?

Je vois passer le résumé suivant :
Five years after the end of the Great Recession, rising corporate profits aren’t translating into rising prosperity, and much of the blame, says this economics professor, belongs to stock buybacks. Between 2003 and 2012, fully 449 of the S&P 500 devoted 54% of their earnings – some $2.4 trillion – to buying back their own stock on the open market. Another 37% of earnings were devoted to dividends. That left precious little either for investment in productive capabilities or for higher incomes for employees. Even investors are worried that these companies aren’t investing in future growth. So why is this happening? Simply put, corporate executives are being paid mainly in stock, and buybacks raise its price in the short term. (article complet ici.)
Les entreprises me semblent effectivement dans une situation compliquée. Elles doivent relancer la machine qu’elles ont essorée, mais sans beaucoup de moyens, car elles doivent maximiser leurs marges, dividendes, cour de bourse… Le dirigeant veut donc des choses qui lui rapportent immédiatement. De façon à en parler à la Bourse. Pour cela il aimerait mettre la main sur un savoir-faire qu’il n’a pas. Comme le target costing à une époque dans l’auto, ou le mode projet, le Juste à Temps… 

Mine de rien mon papier sur la méthode Münchhausen est révolutionnaire. Il signifie que pour redonner son efficacité à l’entreprise, il faut réduire son embonpoint. En fait, c’est une reformulation du Lean au sens « poids de forme ».

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